Lucie Bessias, fondatrice

Tombée dans l'écologie et la sobriété heureuse à ma naissance, j'ai à cœur de participer à l'avènement d'un monde plus respectueux du vivant : l'humain, l'animal et le végétal.

C'est moi qui vous prépare de délicieuses recettes de légumes lactofermentés.

La lactofermentation est un mode de conservation universel et ancestral qui ne nécessite que très peu d'énergie. C'est du lowtech : idéal pour réduire sa consommation énergétique.

Je milite pour la préservation des terres agricoles nourricières afin d'aller vers l'autonomie alimentaire de nos territoires. C'est pourquoi j'achète mes légumes auprès de maraichèr.es locaux pratiquant une agriculture bio et respectueuse du vivant.

Je suis logiquement dans une démarche zéro déchet : je récupère les bocaux pour les remettre dans le circuit : à vous de les ramener sur les points de vente !

Pour limiter l'impact carbone je me déplace à vélo à Montpellier et en métropole ainsi que partout où il est possible d'aller en mixant train + vélo ou bus + vélo.

Pour les livraisons et comme le verre c'est sympa mais tout de même un peu lourd, je mutualise les livraisons avec Lady Tofu et Elsa de
Crem'riz afin de diviser par 3 notre bilan carbone.

Je milite avec l'association vegnature pour la réduction de la consommation de viande issue d'élevage intensif car ces derniers sont responsables du réchauffement climatique via la déforestation de l’Amazonie (entre autres) afin d'y planter du soja pour nourrir ces animaux. Sans parler de la consommation d'eau puisqu'un kilo de bœuf nécessite entre 15 000 et 20 000 litres d'eau.

J'ai à cœur de proposer des recettes pleines de goût qui rendront meilleurs les plats végétariens.

Enfin l'idée de base du projet c'est de faire travailler des femmes migrantes pour lutter contre la double discrimination qu'elles subissent en étant femmes et en venant d'ailleurs. Mais pour atteindre cet objectif il faut vendre plein de bocaux !

Au plaisir de vous croiser,

Lucie

Le projet

Le projet Bokanvi consiste à contribuer à l'autonomie alimentaire de nos territoire en participant au développement d'une agriculture nourricière bio et locale.

Constamment à la recherche de nouvelles saveurs et passionnées par l'alimentation vivante, nous développons une gamme de légumes lacto-fermentés à partir de légumes locaux, en circuit-courts et dans une démarche zéro-déchet.

Nos bocaux ne sont pas pasteurisés pour conserver tous les bienfaits de la lacto-fermentation. Nous prônons l'alimentation vivante. Nos bocaux sont en vie. BOKANVI

Thym serpolet en fleurs à la ferme St Martin.

Découvrir

 Autonomie alimentaire

Aller vers l'autonomie alimentaire de notre territoire est une priorité chez Bokanvi. Aussi, nous nous fournissons en légumes auprès de maraîchers locaux privilégiant la permaculture.

Ici helichryse en agroécologie avec inter-rang graminées et vesce de re semis. Repiquage de chou fin d'été dans l'inter-rang en culture associée.

Ferme St Martin Carlencas et Levas (nous fournissent en choux rouges, blancs et carottes).

Nos engagements

Refuser

Nous refusons les produits à usage unique. Pas de prospectus ou de goodies chez nous, juste des carottes déguisées en fleurs dans vos bocaux.

Réutiliser

Nos légumes sont conditionnés dans des bocaux en verre. Lavez-les et ramenez-les nous, nous les relaverons et les remettrons dans le circuit !

Réduire

Nous réduisons au maximum notre consommation d'énergie, ça tombe bien, la fermentation se fait à température ambiante !

Recycler

En dernier recours ce que nous n'aurons pas réussi à réparer ou à réutiliser sera recyclé.

 

Composter

Nous compostons les restes des légumes pour leur donner une seconde vie et limiter le réchauffement climatique.

Valoriser le végétal

Dans l'objectif de réduire notre consommation de viande, nous vous proposons des recettes végétariennes et véganes pleines de goût !

Maraîchers locaux

Nous privilégions les maraîchers locaux afin de soutenir une agriculture nourricière bio et locale et tendre vers l'autonomie alimentaire de notre territoire.

A bicyclette

Nous privilégions les circuits-courts afin de diminuer les transports et ainsi notre impact carbone. Dans la mesure du possible, nos déplacements en métropole se font à vélo.